Arnaud Poncelet
Mot de bienvenue
Chers frères et sœurs, amis et
amies,
Vous trouverez ici la Parole de
Dieu, Lui qui est Père, Fils et Saint-Esprit.
Que la paix de Jésus-Christ, notre
Seigneur, soit avec vous.
Que Dieu vous garde en son Amour,
pour la Vie éternelle.
Amen
La Bible, la messe, la liturgie des
Heures
Association Épiscopale Liturgique
pour les pays Francophones
Le Saint-Siège
Cathobel.be
Evangile de Jésus-Christ selon saint
Matthieu
Mt 5, 1-12
Voyant les foules, Jésus gravit la
montagne. Il s’assit, et ses disciples s’approchèrent de lui.
Alors, ouvrant la bouche, il les
enseignait. Il disait :
« Heureux les pauvres de cœur,
car le royaume des Cieux est à eux.
Heureux ceux qui pleurent, car ils
seront consolés.
Heureux les doux, car ils recevront
la terre en héritage.
Heureux ceux qui ont faim et soif de
la justice, car ils seront rassasiés.
Heureux les miséricordieux, car ils
obtiendront miséricorde.
Heureux les cœurs purs, car ils
verront Dieu.
Heureux les artisans de paix, car
ils seront appelés fils de Dieu.
Heureux ceux qui sont persécutés
pour la justice, car le royaume des Cieux est à eux.
Heureux êtes-vous si l’on vous
insulte, si l’on vous persécute et si l’on dit faussement toute sorte de mal
contre vous, à cause de moi.
Réjouissez-vous, soyez dans
l’allégresse, car votre récompense est grande dans les cieux ! C’est ainsi
qu’on a persécuté les prophètes qui vous ont précédés. »
Source : https://www.aelf.org/
Évangile de Jésus-Christ selon saint
Jean
Jn 4, 1-27
Les pharisiens avaient entendu dire
que Jésus faisait plus de disciples que Jean et qu’il en baptisait davantage.
Jésus lui-même en eut connaissance.
– À vrai dire, ce n’était pas Jésus
en personne qui baptisait, mais ses disciples.
Dès lors, il quitta la Judée pour
retourner en Galilée.
Or, il lui fallait traverser la
Samarie.
Il arrive donc à une ville de
Samarie, appelée Sykar, près du terrain que Jacob
avait donné à son fils Joseph.
Là se trouvait le puits de Jacob.
Jésus, fatigué par la route, s’était donc assis près de la source. C’était la
sixième heure, environ midi.
Arrive une femme de Samarie, qui
venait puiser de l’eau. Jésus lui dit : « Donne-moi à boire. »
– En effet, ses disciples étaient
partis à la ville pour acheter des provisions.
La Samaritaine lui dit : « Comment !
Toi, un Juif, tu me demandes à boire, à moi, une Samaritaine ? » – En effet,
les Juifs ne fréquentent pas les Samaritains.
Jésus lui répondit : « Si tu savais
le don de Dieu et qui est celui qui te dit : “Donne-moi à boire”, c’est toi qui
lui aurais demandé, et il t’aurait donné de l’eau vive. »
Elle lui dit : « Seigneur, tu n’as
rien pour puiser, et le puits est profond. D’où as-tu donc cette eau vive ?
Serais-tu plus grand que notre père
Jacob qui nous a donné ce puits, et qui en a bu lui-même, avec ses fils et ses
bêtes ? »
Jésus lui répondit : « Quiconque
boit de cette eau aura de nouveau soif ;
mais celui qui boira de l’eau que moi je lui donnerai n’aura
plus jamais soif ; et l’eau que je lui donnerai deviendra en lui une source
d’eau jaillissant pour la vie éternelle. »
La femme lui dit : « Seigneur,
donne-moi de cette eau, que je n’aie plus soif, et que je n’aie plus à venir
ici pour puiser. »
Jésus lui dit : « Va, appelle ton
mari, et reviens. »
La femme répliqua : « Je n’ai pas de
mari. » Jésus reprit : « Tu as raison de dire que tu n’as pas de mari :
des maris, tu en as eu cinq, et celui que tu as maintenant
n’est pas ton mari ; là, tu dis vrai. »
La femme lui dit : « Seigneur, je
vois que tu es un prophète !...
Eh bien ! Nos pères ont adoré sur la
montagne qui est là, et vous, les Juifs, vous dites que le lieu où il faut
adorer est à Jérusalem. »
Jésus lui dit : « Femme, crois-moi :
l’heure vient où vous n’irez plus ni sur cette montagne ni à Jérusalem pour
adorer le Père.
Vous, vous adorez ce que vous ne
connaissez pas ; nous, nous adorons ce que nous connaissons, car le salut vient
des Juifs.
Mais l’heure vient – et c’est
maintenant – où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et vérité :
tels sont les adorateurs que recherche le Père.
Dieu est esprit, et ceux qui
l’adorent, c’est en esprit et vérité qu’ils doivent l’adorer. »
La femme lui dit : « Je sais qu’il
vient, le Messie, celui qu’on appelle Christ. Quand il viendra, c’est lui qui
nous fera connaître toutes choses. »
Jésus lui dit : « Je le suis, moi
qui te parle. »
À ce moment-là, ses disciples
arrivèrent ; ils étaient surpris de le voir parler avec une femme. Pourtant,
aucun ne lui dit : « Que cherches-tu ? » ou bien : « Pourquoi parles-tu avec
elle ? »
Première lettre de saint Paul Apôtre
aux Corinthiens
1 Co 13, 1-13
J’aurais beau parler toutes les
langues des hommes et des anges, si je n’ai pas la charité, s’il me manque
l’amour, je ne suis qu’un cuivre qui résonne, une cymbale retentissante.
J’aurais beau être prophète, avoir
toute la science des mystères et toute la connaissance de Dieu, j’aurais beau
avoir toute la foi jusqu’à transporter les montagnes, s’il me manque l’amour,
je ne suis rien.
J’aurais beau distribuer toute ma
fortune aux affamés, j’aurais beau me faire brûler vif, s’il me manque l’amour,
cela ne me sert à rien.
L’amour prend patience ; l’amour
rend service ; l’amour ne jalouse pas ; il ne se vante pas, ne se gonfle pas
d’orgueil ;
il ne fait rien d’inconvenant ; il ne cherche pas son intérêt
; il ne s’emporte pas ; il n’entretient pas de rancune ;
il ne se réjouit pas de ce qui est injuste, mais il trouve sa
joie dans ce qui est vrai ;
il supporte tout, il fait confiance en tout, il espère tout,
il endure tout.
L’amour ne passera jamais. Les
prophéties seront dépassées, le don des langues cessera, la connaissance
actuelle sera dépassée.
En effet, notre connaissance est
partielle, nos prophéties sont partielles.
Quand viendra l’achèvement, ce qui
est partiel sera dépassé.
Quand j’étais petit enfant, je
parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un
enfant. Maintenant que je suis un homme, j’ai dépassé ce qui était propre à
l’enfant.
Nous voyons actuellement de manière
confuse, comme dans un miroir ; ce jour-là, nous verrons face à face.
Actuellement, ma connaissance est partielle ; ce jour-là, je connaîtrai
parfaitement, comme j’ai été connu.
Ce qui demeure aujourd’hui, c’est la
foi, l’espérance et la charité ; mais la plus grande des trois, c’est la
charité.
Source : https://www.aelf.org/
Lecture de la lettre de saint Paul
apôtre aux Romains
Rm 4, 1-8
Frères,
que dirons-nous d’Abraham, notre ancêtre selon
la chair ?
Qu’a-t-il obtenu ?
Si Abraham était devenu un homme juste
par la pratique des œuvres,
il aurait pu en tirer fierté,
mais pas devant Dieu.
Or, que dit l’Écriture ?
Abraham eut foi en Dieu,
et il lui fut accordé d’être juste.
Si quelqu’un accomplit un travail,
son salaire ne lui est pas accordé comme un don gratuit,
mais comme un dû.
Au contraire, si quelqu’un, sans rien accomplir,
a foi en Celui qui rend juste l’homme impie,
il lui est accordé d’être juste par sa foi.
C’est ainsi que le psaume de David
proclame heureux l’homme à qui Dieu accorde d’être juste,
indépendamment de la pratique des œuvres :
Heureux ceux dont les offenses ont été remises,
et les péchés, effacés.
Heureux l’homme dont le péché
n’est pas compté par le Seigneur.
– Parole du Seigneur.
Source : https://www.aelf.org/
Lecture de la lettre de saint Paul
apôtre aux Romains
Rm 5, 12.15b.17-19.20b-21
Frères,
nous savons que par un seul homme,
le péché est entré dans le monde,
et que par le péché est venue la mort ;
et ainsi, la mort est passée en tous les hommes,
étant donné que tous ont péché.
Si la mort a frappé la multitude par la faute d’un seul,
combien plus la grâce de Dieu
s’est-elle répandue en abondance sur la multitude,
cette grâce qui est donnée en un seul homme, Jésus Christ.
Si, en effet, à cause d’un seul homme,
par la faute d’un seul,
la mort a établi son règne,
combien plus, à cause de Jésus Christ et de lui seul,
régneront-ils dans la vie,
ceux qui reçoivent en abondance
le don de la grâce qui les rend justes.
Bref, de même que la faute commise par un seul
a conduit tous les hommes à la condamnation,
de même l’accomplissement de la justice par un seul
a conduit tous les hommes à la justification qui donne la
vie.
En effet, de même que par la désobéissance d’un seul être humain
la multitude a été rendue pécheresse,
de même par l’obéissance d’un seul
la multitude sera-t-elle rendue juste.
Là où le péché s’est multiplié,
la grâce a surabondé.
Ainsi donc, de même que le péché a établi son règne de mort,
de même la grâce doit établir son règne
en rendant juste pour la vie éternelle
par Jésus Christ notre Seigneur.
– Parole du Seigneur.
Source : https://www.aelf.org/
Livre de l'Exode
Ex 20, 1-17
Alors Dieu prononça toutes les
paroles que voici :
« Je suis le Seigneur ton Dieu, qui t’ai
fait sortir du pays d’Égypte, de la maison d’esclavage.
Tu n’auras pas d’autres dieux en
face de moi.
Tu ne feras aucune idole, aucune
image de ce qui est là-haut dans les cieux, ou en bas sur la terre, ou dans les
eaux par-dessous la terre. Tu ne te prosterneras pas devant ces dieux, pour
leur rendre un culte. Car moi, le Seigneur ton Dieu, je suis un Dieu jaloux :
chez ceux qui me haïssent, je punis la faute des pères sur les fils, jusqu’à la
troisième et la quatrième génération ; mais ceux qui m’aiment et observent mes
commandements, je leur montre ma fidélité jusqu’à la millième génération.
Tu n’invoqueras pas en vain le nom
du Seigneur ton Dieu, car le Seigneur ne laissera pas impuni celui qui invoque
en vain son nom.
Souviens-toi du jour du sabbat pour
le sanctifier. Pendant six jours tu travailleras et tu feras tout ton ouvrage ;
mais le septième jour est le jour du repos, sabbat en l’honneur du Seigneur ton
Dieu : tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton
serviteur, ni ta servante, ni tes bêtes, ni l’immigré qui est dans ta ville.
Car en six jours le Seigneur a fait le ciel, la terre, la mer et tout ce qu’ils
contiennent, mais il s’est reposé le septième jour. C’est pourquoi le Seigneur
a béni le jour du sabbat et l’a sanctifié.
Honore ton père et ta mère, afin
d’avoir longue vie sur la terre que te donne le Seigneur ton Dieu.
Tu ne commettras pas de meurtre.
Tu ne commettras pas d’adultère.
Tu ne commettras pas de vol.
Tu ne porteras pas de faux
témoignage contre ton prochain.
Tu ne convoiteras pas la maison de
ton prochain ; tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain, ni son
serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne : rien de ce qui lui
appartient. »
Source : https://www.aelf.org/
saint François d’Assise
Le cantique des créatures (Laudes Creaturarum)
Très Haut, tout-puissant et bon
Seigneur,
à toi louange, gloire, honneur,
et toute bénédiction ;
à toi seul, ils conviennent, O Très-Haut,
et nul homme n’est digne de te nommer.
Loué sois-tu, mon Seigneur, avec
toutes tes créatures,
spécialement messire frère Soleil,
par qui tu nous donnes le jour, la lumière ;
il est beau, rayonnant d’une grande splendeur,
et de toi, le Très Haut, il nous offre le symbole.
Loué sois-tu, mon Seigneur, pour
sœur Lune et les étoiles :
dans le ciel tu les as formées,
claires, précieuses et belles.
Loué sois-tu, mon Seigneur, pour
frère Vent,
et pour l’air et pour les nuages,
pour l’azur calme et tous les temps :
grâce à eux tu maintiens en vie toutes les créatures.
Loué sois-tu, Seigneur, pour notre
sœur Eau,
qui est très utile et très humble,
précieuse et chaste.
Loué sois-tu, mon Seigneur, pour
frère Feu,
par qui tu éclaires la nuit :
il est beau et joyeux,
indomptable et fort.
Loué sois-tu, mon Seigneur, pour
sœur notre mère la Terre,
qui nous porte et nous nourrit,
qui produit la diversité des fruits,
avec les fleurs diaprées et les herbes.
Loué sois-tu, mon Seigneur, pour
ceux
qui pardonnent par amour pour toi ;
qui supportent épreuves et maladies :
heureux s’ils conservent la paix,
car par toi, le Très Haut, ils seront couronnés.
Loué sois-tu, mon Seigneur,
pour notre sœur la Mort corporelle
à qui nul homme vivant ne peut échapper.
Malheur à ceux qui meurent en péché
mortel ;
heureux ceux qu’elle surprendra faisant ta volonté,
car la seconde mort ne pourra leur nuire.
Louez et bénissez mon Seigneur,
rendez-lui grâce et servez-le
en toute humilité.
Source : https://eglise.catholique.fr/
Je vous salue Marie
Je vous salue Marie, pleine de grâce
;
Le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les
femmes
Et Jésus, le fruit de vos
entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre
mort.
Amen
Ave Maria
Ave Maria, gratia
plena
Dominus tecum
Benedicta tu in mulieribus
;
Et benedictus fructus ventris tui, Jesus
!
Sancta Maria, Mater Dei,
Ora pro nobis,
peccatoribus,
Nunc, et in ora
mortis nostræ.
Amen
La première en chemin
Auteur : Sœur Marie-Colette Guédon
Compositeur : Georges Lefebvre
1
La première en chemin, Marie tu nous
entraînes
A risquer notre "oui" aux
imprévus de Dieu.
Et voici qu'est semé en argile
incertaine
De notre humanité Jésus-Christ, Fils
de Dieu.
Marche avec nous, Marie,
Sur nos chemins de foi,
Ils sont chemins vers Dieu,
Ils sont chemins vers Dieu.
2
La première en chemin, en hâte tu
t'élances,
Prophète de Celui qui a pris corps
en toi.
La parole a surgi, tu es sa
résonance
Et tu franchis des monts pour en
porter la voix.
Marche avec nous, Marie,
Aux chemins de l’Annonce,
Ils sont chemins vers Dieu,
Ils sont chemins vers Dieu.
3
La première en chemin pour suivre au
Golgotha
Le Fils de ton amour que tous ont
condamné,
Tu te tiens là, debout, au plus près
de la croix
Pour recueillir la vie de son cœur
transpercé.
Marche avec nous, Marie,
Sur nos chemins de croix,
Ils sont chemins vers Dieu,
Ils sont chemins vers Dieu.
4
La première en chemin avec l'Eglise
en marche
Dès les commencements, tu appelles
l'Esprit !
En ce monde aujourd'hui, assure
notre marche ;
Que grandisse le corps de ton Fils
Jésus-Christ !
Marche avec nous, Marie,
Aux chemins de ce monde,
Ils sont chemins vers Dieu,
Ils sont chemins vers Dieu.
Source : https://www.chantonseneglise.fr/
Ô toi l'au-delà de tout
Taizé
Ô toi l'au-delà de tout
Quel esprit peut te saisir
Tous les êtres te célèbrent
Le désir de tous aspire vers toi